« Langue de bois ».
-Délier sa parole, assouplir ses postures
-Soupeser : mots vides, mots pleins
-Rire et se libérer du carcan d’un langage imposé
Vous est-il déjà arrivé, en entendant un orateur parler, de vous demander (près avoir admiré la brillance du discours) ce qui avait été dit ? Et de découvrir avec stupeur que ce qui avait été si brillamment exposé était au mieux …du vide, et au pire…. un chausse-trappe pour la pensée de l’auditeur ?
De Georges Orwell à Franck Lepage, en passant par Tadeus Kantor, des gens ont pris la liberté de rire du langage sérieux du pouvoir. Cette journée est faite pour ça : rire des absurdités de la novlangue et libérer notre parole par l’improvisation.
Tout le contraire de l’art du conteur ? A voir !
Ce sera aussi l’occasion de reflechir sur l’engagement dans un recit, la profondeur, la parole quand elle vient du coeur…